Les enseignants ont de quoi rigoler certains jours...
Trop fort...
Les enseignants ont de quoi rigoler certains jours...
Trop fort...
Suite a nos vacances au japon, quelques reportages photo en commençant par Kamakura.
Kamakura est une ville du Japon située au bord de l’Océan Pacifique dans la préfecture de Kanagawa, à 50 km au Sud-Ouest de Tokyo et un peu moins de Yokohama. La ville a été fondée le 3 novembre 1939. La population de la ville est de 171 512 habitants pour une superficie de 39,53 km² (2005).
Kamakura est une ville historiquement importante pour le Japon. En 1192, le Shôgun Minamoto no Yoritomo décida d’installer sa nouvelle capitale à Kamakura, y déplaçant du même coup le centre politique du Japon. C’était l’époque où les Shoguns prenaient le dessus sur l’Empereur Mikado. Le gouvernement de Kamakura domina le Japon pendant plus d’un siècle, jusqu’en 1333.
Aujourd’hui, Kamakura est une ville balnéaire, touristique et bien tranquille pour le touriste arrivant en train depuis Tokyo. L’été, sa longue plage est courue. Apprécié des densha-otaku, un train ancien sur une seule voie traverse la ville.Parmi de nombreux temples, mausolées et monuments historiques, le monument le plus célèbre aujourd'hui est très certainement le grand bouddha Amitabha de Kamakura, le deuxième plus grand du Japon après celui de Nara, autre ancienne capitale. Le bâtiment qui abritait ce grand bouddha de Kamakura aurait été détruit, selon les sources, soit par un typhon, soit par un tsunami, à la fin du XVe siècle. ***
Le tapaest une étoffe végétale obtenue par la technique de l'écorce battue. Cette technique encore utilisée pour l'artisanat d'art en Océanie a été pratiquée en Amérique du Sud, en Afrique Centrale et en Indonésie.
L'île de Ua uka est sûrement celle qui a le plus de sculpteurs sur bois,pierre ou os, les sculpteurs sont généralement tous des hommes et depuis quelques années cette art reste la première source de revenu.
Le tapa est plus réservé aux femmes qui après la préparation de l'écorce la peigne avec des motifs souvent liés au tradition Marquisienne.
Photo de tatouage japonais prise en 1870.
La technique du tatouage traditionnel japonais porte plusieurs noms, irezumi ou horimono. Horimono désigne l'ensemble des tatouages. Cependant, irezumi est le terme utilisé en général pour désigner le tatouage traditionnel couvrant de larges parties du corps, et pouvant aller jusqu'au « tatouage intégral » typiquement japonais, qui habille le corps comme une seconde peau. De tels motifs représentent de véritables oeuvres d'art au coût élevé. Il existe ainsi des maîtres et des disciples, formant des « écoles » artistiques au même titre que pour d'autres formes d'art.
Lors des guerres civiles du Sengoku Jidai (le XVIème siècle japonais), certains samouraïs se faisaient tatouer le symbole de leur clan sur le bras ou le corps. Lors des batailles, cette méthode permettait d'identifier à coup sûr les cadavres à une époque où les armures étaient volées et où l'on avait l'habitude de couper les têtes des ennemis...
On ne peut parler de tatouage japonais sans évoquer les yakusa. Le rituel le plus pratiqué au sein de la communauté reste le rituel du tatouage, plus connu sous le nom d'"irezumi" au Japon. Sa mise en place est très douloureuse, car elle se fait encore de manière traditionnelle, l'encre est insérée sous la peau à l'aide d'outils non électriques, des faisceaux d'aiguilles fixés sur un manche en bambou ou plus récemment en acier inoxydable (donc stérilisable), fabriqués à la main. Le procédé est onéreux et douloureux, et peux prendre des années pour être accompli dans son intégralité.
Les yakuza en sont presque tous recouverts, et chaque clan possède son tatouage particulier. Cette pratique est originaire des Bakuto, dont les membres se tatouaient un cercle noir autour de leurs bras à chaque crime commis. C’est aujourd’hui plus la résultante d’une volonté des clans de se différencier, et une preuve de courage et de fidélité envers leur « famille », car le procédé est irréversible. Certains tatouages sur l’intégralité du corps peuvent demander des mois, voir des années de travail.
Cependant, le nombre de gangsters japonais tatoués décroît, car les nouvelles générations préfèrent un simple tatouage similaire au type occidental, plus rapide, moins douloureux et surtout bien moins cher. Parfois même, il n'y a plus de tatouage. En outre, depuis les années 90, certains yakuza cherchent à enlever leurs tatouages par opération pour retourner dans la société. La mauvaise réputation qui entoure l'irezumi fait que certains lieux publics (bains publics, etc.) restent interdits aux personnes tatouées.
tatouage d'un Yakusa
Quelques motifs de tatouage d'inspiration polynésienne et Marquisienne par JL Tatoo. Un lézard (mo'o), un motif plus élaboré avec tiki, puis un tribal.